Effectuer une course de 20 ou 110 kilomètres dans la journée, en maintenant une cadence et en gérant l'effort de son cheval.
La fatigue du cheval est controlée à travers son rythme cardiaque vérifié aux nombreux points de contrôle.
Un examen approfondi de ses allures va décider de la suite de la compétition.
Ce n'est pas une course de vitesse mais de fond. Le gagnant sera celui qui sera aller le plus vite en fatigant le moins possible son cheval. Le but est donc d'apprendre à respecter et à écouter son cheval
Entre deux étapes, le cheval a un temps de repos pour récupérer et pour se restaurer.
Le rôle de l'assistance est primordial. En effet, le cavalier n'est pas seul. Il bénéficie de l'aide de bénévoles (amis, famille) qui vont le suivre d'étapes en étapes par la route et qui seront avec lui pour s'occuper du cheval, le réhydrater, l'arroser, lui donner à boire, vérifier son état général. Sans cette assistance le cavalier ne pourrait pas participer à la course.
Les épreuves à vitesse limitée.
Les épreuves à vitesse libre (où seule une vitesse minimum est imposée).